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AccueilLe_Miscanthus___la_ressource_de_lavenir.html

17 rue de Mont Saint André

1367 Bomal

Belgique


Tél 00 32 (0)475 518 453

Fax 00 32 (0)81 87 61 31

info@promisc.be

ContactContact.html
Le Miscanthus
La ressource de l’avenir
Biomatériaux et biomasse de seconde génération

ASPECTS

ECONOMIQUES

Types de contratsTypes_de_contrats.html

Déjà près de 100 hectares implantés

en Belgique


Un rendement
élevé


Une reprise de
la récolte assurée
(Contrat de rachat)


Un revenu indexé

La réussite de l’implantation du miscanthus est liée à des règles agronomiques qu’il est impératif de respecter.


Enlèvement des plants

Les plants de miscanthus Promis© sont arrivent directement d’Autriche.


Ils sont stockés en, chambre froide dans l’attente de l’implantation. Les plants ne sont enlevés que si vous êtes absolument sûr d’avoir les bonnes conditions pour les mettre en terre :

  1. Tout en veillant à limiter le temps entre la sortie du frigo et l’implantation, il faut les stocker à l’ombre et à l’abri du vent

  2. Humecter le big-bag une fois par jour, surtout sur la périphérie (risque de dessèchement du plant).


Pour les plantations en full service, nous nous chargeons de l’acheminement des plants jusqu’au bord du champ. Un engin de manutention est néanmoins nécessaire pour décharger les bags et charger la planteuse.

La sociétéSociete.html
Coût d’implantationCouts_dimplantation.html
Comparatif Miscanthus/BléComparatif_Miscanthus-Ble.html

ASPECTS

AGRONOMIQUES

ImplantationImplantation.html
Adaptations 
du milieuAdaptations_du_milieu.html
Cycle végétatifsCycle_vegetatif.html
RécolteRecolte.html
Place dans la SAUPlace_dans_la_SAU.html

ASPECTS

ECOLOGIQUES

Qualité de l’airQualite_de_lair.html
Bilan energétiqueBilan_energetique.html
FertilisantsFertilisants.html
Effet sur le solEffets_sur_le_sol.html
PhytoremédiationPhytoremediation.html

RECOMMANDATIONS

pour l’implantation

DOSSIER

BiodiversitéBiodiversite.html

Pour télécharger
le dossier
de présentation
au format pdf:

Densité de plantation
(planteuse de pomme de terre)

Respecter scrupuleusement les prescriptions du tableau
ci-dessous






Il ne sert à rien d’espérer faire une bonne opération en plantant plus espacé :

  1. Bien que la plante ait de bonnes capacités de tallage, les grands trous ne seront jamais comblés qu’en y replantant manuellement des rhizomes.

  2. Ce qui compte, c’est d’arriver le plus rapidement possible au rendement optimum. Les quelques économies que vous pourriez faire sur la densité de plantation pourront provoquer une diminution significative et récurrente du rendement.

  3. Tous les plants ne sont pas viables : le tableau ci-dessus en tient compte, et la quantité de plants/bag est prévue également en conséquence.

  4. Veillez à ne pas mettre de (trop) gros paquets de plants sur les cuillères de la planteuse car risque de blocage.

  5. Ne pas mettre non plus de trop petits morceaux de rhizomes (moins viables), ou alors en mettre plusieurs.

  6. Pour les planteuses à double rangée de cuillère, ne mettre des plants que dans une seule rangée peut faciliter la descente des plants en évitant le blocage de la courroie par des rhizomes trop gros. Le réglage de distance peut aussi en être facilité (dans ce cas, régler sur 22 cm pour une distance entre plants de 44 cm p. ex.)

  7. Il est judicieux, si vous en avez la possibilité, de préparer 10 à 20 % de superficie en plus pour le cas où vous auriez malgré tout trop de plants.


Il faut 15 à 20 cm de terre non tassée (avant le passage du rouleau) au-dessus du plant.


Une fois la plantation réalisée, il est impératif de rappuyer le lit de semis avec un rouleau lourd (type rouleau cambridge) et non lisse afin de favoriser le contact rhizome-terre fine et par conséquence de limiter l’assèchement du terrain.

Le sol doit être le plus plat possible : pensez aux ensileuses et bennes qui vont passer pendant les 20 années suivantes !

La gestion du désherbage

Le miscanthus étant très sensible à la concurrence des adventices, il est primordial de bien maîtriser ce poste, et de le gérer avant la plantation.

L’objectif est d’avoir un sol avec zéro adventice à la plantation.


Cas de labour avant hiver :

Si la parcelle ne présente pas de salissement visuel (verdissement des labours), le glyphosate ne sera pas nécessaire.

Par contre, si le labour est travaillé suffisamment longtemps avant la plantation et que cela engendre une levée d’adventices, alors

l’application de glyphosate est impérative.


Cas de labour au printemps avant la plantation :

Le labour au printemps ne nous affranchit pas d’un passage de glyphosate, surtout en situation de retournement de prairie ou de jachère.

La préparation du sol

  1. L’objectif est de préparer un horizon de 20 cm de terre fine comme pour la préparation d’une plantation de pomme de terre (et non un horizon

  2. motteux grossier).

  3. Une profondeur de travail « maïs » est insuffisante.

  4. Les outils comme les herses rotatives (avec des dents neuves) ou rotalabours sont recommandés.

  5. La préparation de cet horizon de terre fine ne doit pas être réalisée trop longtemps à l’avance afin d’éviter un assèchement de terrain ou d’une prise en masse en cas de forte pluviométrie.

  6. Si la structure du sol le permet, le passage de la herse rotative peut se faire juste avant la plantation.

  7. Il est important de travailler les sols en conditions ressuyées afin d’éviter des lissages en profondeur préjudiciables au développement racinaire.

  8. En situation de non labour, il sera important de vérifier qu’il ne reste aucune zone de compaction.

  9. Un labour pourra être recommandé par l’agronome responsable, en fonction des résidus présents sur le sol et du salissement éventuel.


Pour les Full Service, pour des raisons de logistique, la décision et le calendrier du travail de sol préparatoire doit être prise avec l’accord de Promisc.

IMPORTANT : Une fois la plantation réalisée, il est impératif de rappuyer le lit de semis avec un rouleau lourd (type rouleau cambridge) et non lisse afin de favoriser le contact rhizome-terre fine et par conséquence de limiter l’assèchement du terrain.

Le sol doit être le plus plat possible : pensez aux ensileuses et bennes qui vont passer pendant les 20 années suivantes !

 

La lutte anti-taupin

Lors de la première année d’implantation, le miscanthus est sensible aux attaques de larves de taupins. Une stratégie anti-taupin est recommandée en particulier dans les situations à risque :

  1. retournement de prairies

  2. retournement de jachères herbacées de plus de trois ans

  3. situation de pression taupins déjà observée dans les années antérieures avec dégâts marqués.


Dans certaines zones, les attaques de taupins ne sont survenues qu’après la levée des rhizomes, c’est-à-dire autour du deuxième mois après plantation. Dans ce cas, les dégâts ont été modérés.

Une fois démarré, le miscanthus est capable de compenser des pertes grâce à une bonne capacité de rattrapage. Une protection systématique n’est pas requise : l’enjeu est de limiter la pression du taupin sur le rhizome pendant la période de démarrage de la culture c’est à dire les 2-3 premiers mois après l’implantation sur les parcelles à risque (anciennes jachères herbacées ou prairies).

La fumure minérale

Le miscanthus nécessite peu d’intrants, notamment en éléments azotés. En effet lors de la phase de sénescence, par un phénomène de translocation, les éléments nutritifs de la tige migrent vers le rhizome, organe de réserve. De plus 80 % des éléments nutritifs se trouvent dans les feuilles et sont restitués au sol lors de la chute de celles-ci. Les exportations annuelles sont donc très faibles.

Néanmoins, la fumure doit se gérer en fonction des teneurs du sol, et sur un sol normalement pourvu, aucune fumure ne sera appliquée les deux premières années de la culture.

Quoiqu’il arrive, la culture souffrira toujours plus d’une concurrence des adventices que d’un manque de fumure : mieux vaut donc ne pas donner à manger aux mauvaises herbes…

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